Mais oui! Chaque fois qu'on a besoin de vous, vous êtes pas là! Toujours fourré à la grande fête de machin, à la célébration de truc…
— Sire Arthur Roi de Bretagne dit Le Sanglier de CornouaillesLivre 2, espisode 7- C’est parce que je cherche le Graal que je suis roi, et du coup vous êtes reine. Si je cherchais pas le Graal vous seriez encore en Carmélide en train de torcher le cul des vaches dans une des fermes de votre con de père !
- - Vous avez un petit quelque chose? Une protection magique, une potion...
- Non, j'ai ça
- Qu'est-ce que c'est ?
- C'est un genre de cake
- Mais... un cake magique ?
- Non, non. C'est un cake. C'est pour la route - À une exécution, je m'approche d'une fille, pour rigoler, je lui fais: Vous êtes de la famille du pendu? C'était sa soeur. Bonjour, l'approche.
- - Vous n'avez jamais entendu parlé des prières chrétiennes ??
- Euh... oui, je sais plus, pourquoi ?
- Eh ben vous devriez p'tet vous mettre à la page mon p'tit vieux, si vous voulez devenir chrétien vous devez vous adresser chaque soir au Dieu unique. - On peut pas perdre 10 hommes à la minute pour une dent de requin
- Oh ! Ben c’était des pecnots, quoi ! Ils étaient sales !
- Alors quand je rentre de la taverne à 4 pattes, vous tapez des crises à rallonge et ce soir, tout d'un coup, on est viril quand on picole
- Alors, tout a été pré-mâché. C'est bon, je vous dis. Vous n'avez qu'à signer en bas à droite !
- - Non mais attendez, j'ai jamais dis que j'parlais burgonde moi !
- Qu'est-ce que vous foutez là alors ?
- J'ai dis que quand j'étais gamine chez les Pictes, j'avais une petite copine prisonnière qui était burgonde ! - Vous savez pas. Et pourtant, croyez-moi, ça vous plairait!
- - Ben oui, mais vous, vous n'avez pas de femme du tout, c'est encore mieux!
- On dit que je suis fidèle
- Non, c'est pas ça qu'on dit - - Quel est votre nom ?
- Allez vous faire mettre !
- Vous êtes en présence du roi Arthur ! Surveillez votre langage !
- Qu'est-c'que vous allez faire ? Me foutre au cachot ? - De toute façon, il dit tellement rien qu'on dînerait avec un tabouret, ce serait pareil
- - Ça, c'est du plan de bataille !
- Avec ça, on peut pas perdre
- Juste une chose, la dernière fois contre les envahisseurs pictes, on avait un plan impeccable aussi. On est bien revenus la queue entre les jambes, si ma mémoire est bonne, non ? - - Nan mais pour la bouffe vous êtes peut-être forts mais pour la politesse pardon hein... On vous invite à table et vous critiquez.
- On m'invite on m'invite... j'suis censé occuper l'pays normalement j'ai pas b'soin qu'on m'invite. - C'est marrant, les petits bouts de fromage par terre. C'est ça que vous appelez une fondue ?
- - C’est bien, y’a un peu de clientèle ce soir !
- Oh, pas bien plus que d’habitude.
- Quand même, y sont onze. J’ai calculé sur les treize dernières années, dans les deux heures qui précèdent le coucher du soleil, vous avez une moyenne de 8,422. - - Vous en avez besoin parce qui fait des p'tits dessins là, sur le mur, des p'tits jérémiades ?
- C'est pas une flèche, j'vous l'accorde ! N'empêche qu'en bataille, il m'a déjà sorti du pétrin une ou deux fois.
- Mon activité dans ce gouvernement est de brûler les personnes démoniaques ! Je veux brûler cette personne ! - Qu'est-ce que ça change, on fait semblant d'écouter, on dit qu'on comprend mais qu'on y peut rien et dans une heure on s'arrête pour aller casser la graine alors... pas b'soin d'registre hein.
- - Ben, j’sais pas, d’habitude vous êtes systématiquement sur mon dos, à me reprocher des tas de trucs !
- Ben justement, profitez-en et tirez-vous !