C'est une idée de ma femme. Elle en a 10 par jour, comme ça
— Sire Arthur Roi de Bretagne dit Le Sanglier de CornouaillesLivre 1, espisode 33- - On arpente un sol argileux ! De type humide !
- Une végétation assez dense ! Grande concentration de conifère ! - Non. Prenez la roue, par exemple. Ça, c'est festif. Parce que le condamné est attaché et on commence par lui casser les bras et les jambes. Tout le monde peut venir avec son petit bâton. Les gens participent. C'est convivial.
- - D'accord, elles ne sont pas d'hier mais est-ce que vous pensez qu'elles sont obsolètes ?
- C'est pas faux - Ces conneries de gauche et droite! Ça veut rien dire ces machins. Selon comme on est tourné, ça change tout.
- - Parce-que non mais à tous les coups c’est bourré ras la gueule de gonzesses là-dedans !
- Des gonzesses, Sire ?
- Ouais, non mais c’est les miennes y’a pas de problème, simplement … - - Ca arrive...
- Ca arrive souvent ?
- Oh... ben... de temps en temps y a un type enfin j'veux dire... un chevalier, ou deux... qui viennent prendre une petite coupette, bon...
- J'vais être clair. Il m'est arrivé d'penser qu'mes hommes passaient beaucoup trop d'temps chez vous. Alors bon j'les ai un p'tit peu...
- Un p'tit peu s'coué !
- Moui j'les ai pourris, exactement, j'les ai traités d'tous les noms. - Quand on commence à péter la vaisselle, j'estime que le terme n'est pas excessif
- C'est un corbeau décédé
- - Simplement, pour aujourd'hui, on va mettre un peu de côté la langue, la bouffe, les coutumes, la musique et le panorama pour se concentrer plus spécifiquement sur ...
- Les monuments ?
- Le Graal - - Moi, dès que j'pars en retraite, j'vous laisse tous mes chevaux.
- Ah ça c'est drôlement gentil.
- Voilà, j'en ai deux, ils sont à vous.
- Vous en aviez pas trois ?
- Non, l'autre j'l'ai tué sans faire exprès. Bon et puis sur les deux, y a l'mien, alors j'pars avec. Il vous en reste un. Vous y f'rez gaffe hein, il a au moins 25 ans c'bourrin. Il peut crever d'un jour à l'autre. - C'est viril, c'est tout. Quand on est un homme, on boit beaucoup de vin.
- - Alors j'ai fait faire 5000 km à cette statue, vous arrivez elle vous plait pas hop vous la flanquez dehors... C'est un peu facile !
- C'est tellement facile que j'vais p'tet systématiser le processus. Parce qu'y'a pas qu'la statue qui m'emmerde. - Quand je viens vous voir pour vous demander des trucs, c'est l'Enchanteur, que je viens voir. Pour qu'il me donne des solutions d'Enchanteur. Pas des combines à la noix ou des remèdes de bonne femme ! Vous êtes mon Enchanteur, vous êtes pas ma grand-mère! Ok ?
- - Merci. Tenez ça c'est la recette à la farine de châtaigne, prenez l'temps d'le goûtez chez vous, vous m'direz !
- Ah mais j'le connais déjà celui-là.
- Et alors ?
- C'est d'la merde. - Non mais c'est dingue, cette histoire! S'il a pas envie d'aller aux pendaisons, il fait ce qu'il veut, mais qu'il empêche pas les autres de s'amuser!
- - Et vous êtes détenu depuis combien d'temps ?
- Vingt-deux ans.
- Vingt-deux ans ?!
- Ouais bah ça fera vingt-deux ans au mois d'mai... Vous allez pas chipoter ? - C'est très bien de vouloir le mettre avec quelqu'un. Mais il faut que ce soit quelqu'un de plus mûr que lui, qui lui apprenne les ficelles.
- - Ça, c'est la guerre. Des fois, vous gagnez, des fois, vous perdez
- Nous, on perd, surtout. Enfin, c'est pas à chaque fois à cause des champignons, je vous l'accorde - J'ai justement besoin d'un grand local pour entreposer des Chinetoques.
- - Non non non je suis désolé hein. Moi je ne peux pas faire une légende avec un vieux qui enroule sa bite sur un bâton.
- Bon ben tant pis laissez tomber !
- De toute façon je ne sais même pas comment ça se dit en latin
- Quoi bite ?
- Non fakir.