Avec qui vous dormez demain soir? Avec la reine, avec Azénor ou avec moi?
— DemetraLivre 1, espisode 22- - Vous parlez quelles langues ?
- Burgonde
- Et puis ?
- 2 autres patois burgondes - Oh bah vous j'sais pas, mais moi j'abandonne hein ! J'ai tout essayé, les coups de fouet, lui couper la bouffe, la flotte euh... Pas moyen d'lui faire fermer sa gueule.
- - Je suis désolée, sire! Mon père s'est mis en tête que vous étiez le père sous prétexte que vous m'avez adressé la parole, un jour, à un bal de village !
- Les premières oeillades! La flûte enchantée! Et trois mois après: patatrac! - - Aaaaah... Vous voulez que j'donne du blé ?!
- Bah, un Roi moderne comme vous... c'est bien l'moins qu'vous puissiez faire !
- D'accord, ça y est je percute ! Nan parce que là vous commenciez à m'faire flipper léger quand même. - Non, mais attendez, vous faites semblant de négocier, tranquille..
Pendant ce temps, je fais celui qui va par là-bas
Et quand j'arrive à sa hauteur, tac! Je sors ma dague et je l'ouvre en deux par le bas - C'est quand même magnifique une armée bien coordonnée, hein... ben quoi, vous allez pas m'dire qu'on a pas l'air con avec nos drapeaux, ça fait une heure qu'on fait des signes y'en a pas un qui va dans le même sens !
- - Est-ce que vous avez conscience que j'ai de menues responsabilités au sein d'ce gouvernement, qui m'tiennent relativement éloigné des problèmes de répartition des piaules ?!
- Si vous n'avez pas l'temps, pourquoi est-ce que vous refilez notre chambre à Karadoc ? - - Les chefs de guerre seulement.
- Mais j'suis pas chef de guerre moi ?
- Non.
- Bah si.
- Ah non, j'vous jure que non ! - - On était parti pour inventer une potion magique de puissance.
- Qui ça ? Vous ?
- Ben on n'a pas de technique, mais c'est comme tout, faut avoir du... vous voyez ?
- Bon, la potion de puissance, ça a foiré.
- Ah merde : Ca m'coupe les jambes ça ! Comment ça se fait ? - - 'Scusez le pote Lancelot hein, il vous connaît pas !
- Centurion Caïus Camillus !
- Ah mais si, j'vous ai vu une fois à la Table Ronde ! - Arthooouuurrr ! Pas changer assiette pour fromage !
- À genoux, pas à genoux, c'est une chose, mais en attendant, je vous donne pas tout mon or !
- Nan moi j'crois qui faut qu'vous arrêtiez de dire des trucs. Ca vous fatigue déjà, puis pour les autres vous vous rendez pas compte de c'que c'est. Moi quand vous faites ça ça m'fout une angoisse... j'pourrais vous tuer j'crois. De chagrin hein. J'vous jure c'est pas bien. Y faut plus que vous parliez avec des gens.
- Il y a une souris dans la cuisine. Je me coucherai pas avant de l'avoir pulvérisée.
- - Moi j'suis désolé, j'comprends ! Parce que foutre la merde dans un stock de bouffe, c'est une chose, mais sur un champ de bataille...
- Mais qu'il vienne pas nous dire qu'on fout la merde sur les champs de bataille !
- On y fout jamais les pieds !
- Ca va bien maintenant !
- Merde ! - On dit la politique de l’autruche ! Avant j’comprenais pas ! Mais maintenant qu’j’en ai vu une d’autruche, c’est bon ! Une politique qui court vite ! Une politique qui fait des gros œufs, c’est tout !
- - Parce que vous n'avez pas que du bas peuple dans votre établissement ?
- Hmm non je dirais que nous disposons de heu... tout un panel de ...
- Mmm, non mais par exemple aujourd'hui.
- Ah aujourd'hui c'est surtout du clodo hein... mais alors parfois en période de foire nous disposons de marchands... - - Ce serait marrant qu'on ait un canard
- Un canard ?
- Pas un vrai canard, mais comme un genre de canard
- Qu'est-ce que vous voulez qu'on foute d'un canard ? - - Parce que vous avez choisi c’qu’on appelle communément le poste d’éclaireur ! Alors si j’dois tout regarder par moi-même, au bout d’un moment ça veut plus dire grand-chose, vous comprenez ?
- Bon, et bien… Les murs sont pierreux…
- Pierreux ?
- Oui, enfin… En pierre, quoi ! - Vous savez pas. Et pourtant, croyez-moi, ça vous plairait!